Auteur
Jean-Jacques PLUCHART
Résumé
La communication restitue une recherche basée sur l’étude de l’évolution des « alliances globales » du groupe Cisco, considéré comme un des modèles « d’entreprise citoyenne » aux Etats-Unis. L’étude de cas soulève des problématiques relatives à la nature et à l’organisation des alliances philanthropiques La restitution de la recherche comporte un état de l’art relatif aux notions de réseau d’affaires et d’entreprise-réseau socialement responsable, puis le protocole de la recherche, l’étude du cas du réseau de Cisco et une discussion du concept de réseau socialement responsable.
Auteurs
Dorra Skander
Luz Marina Ferro
Résumé
Cet article se penche sur l’évolution des mécanismes de contrôle formel et de la confiance dans le cadre des partenariats public-privé ou PPP. Pour ce faire, deux courants de littérature sont mis à contribution : ceux issus du champ des PPP et ceux traitant des stratégies collaboratives de façon générale. Un modèle d’évolution du contrôle formel exercé entre les parties en fonction des divers types de confiance pouvant se manifester dans le cadre des relations partenariales est proposé. Cette approche est d’un intérêt particulier car elle permet de mettre sous les projecteurs aussi bien la contribution en matière de confiance et de mécanismes de contrôle formel du champ des alliances stratégiques de façon générale et le champ des PPP qui en représente un cas bien particulier.
Une étude empirique de type qualitatif a été réalisée afin de vérifier la pertinence du modèle proposé d’évolution du contrôle formel en fonction des types de confiance identifiés. Les propos d’une quinzaine des responsables des secteurs publics et privés oeuvrant dans un PPP réalisé à l’échelle canadienne ont été recueillis lors d’entretiens semi-structurés menés par les chercheurs.
Avec quelques données secondaires fournies par les répondants, une étude de cas a été rédigée. L’analyse des transcriptions des entretiens de l’étude de cas permettent de vérifier les propositions avancées. À la lumière de la réflexion et de l’analyse des données empiriques, il ressort que le contrôle formel représente « la structure de base » de la naissance du PPP, fondé lui-même sur la confiance institutionnelle. Par la suite, tout au long de leurs interactions, les parties construisent une confiance non seulement au niveau organisationnel mais également au niveau personnel.
Bien que le contrôle formel représente le cadre auquel se réfèrent les parties pour leurs collaboration, il peut être, en cours du projet, relégué au second plan et substitué (sur le plan fonctionnel) par la confiance interorganisationnelle et/ ou interpersonnelle. Ainsi, tout au long du projet de PPP, le contrôle formel, les confiances institutionnelle, interorganisationnelle et/ou interpersonnelle peuvent se compléter ou se substituer.
Auteurs
Katia Angué
Ulrike Mayrhofer
Résumé
L’objet de cette communication est d’évaluer l’impact des conditions initiales dans lesquelles évoluent les entreprises sur leur propension à coopérer et sur les caractéristiques de leurs alliés qu’elles jugent déterminantes. Plus précisément, l’enjeu est de mesurer l’influence de différentes dimensions de la distance (culturelle, administrative, géographique, économique et technologique) sur le choix d’un partenaire d’une coopération internationale en R&D.
Fondé sur le cadre d’analyse proposé par Ghemawat en 2001, cet article développe et teste plusieurs hypothèses relatives aux effets de l’éloignement, envisagé sous cinq de ses dimensions. Elles sont testées sur un échantillon de 1.502 accords internationaux conclus par des entreprises européennes oeuvrant dans le secteur des biotechnologies.
Or, si les résultats de l’étude empirique montrent que la distance influence le choix du partenaire, ils révèlent également que son impact varie en fonction de la dimension retenue. En particulier, les distances administratives, géographiques, économiques et technologiques apparaissent jouer un rôle essentiel, mais la distance culturelle, pour sa part, ne semble pas influencer le choix des partenaires, du moins dans le secteur des biotechnologies.
Auteur
Jean-Jacques PLUCHART
Résumé
La communication restitue une recherche basée sur l’étude de l’évolution des « alliances globales » du groupe Cisco, considéré comme un des modèles « d’entreprise citoyenne » aux Etats-Unis. L’étude de cas soulève des problématiques relatives à la nature et à l’organisation des alliances philanthropiques La restitution de la recherche comporte un état de l’art relatif aux notions de réseau d’affaires et d’entreprise-réseau socialement responsable, puis le protocole de la recherche, l’étude du cas du réseau de Cisco et une discussion du concept de réseau socialement responsable.
Auteurs
Dorra Skander
Luz Marina Ferro
Résumé
Cet article se penche sur l’évolution des mécanismes de contrôle formel et de la confiance dans le cadre des partenariats public-privé ou PPP. Pour ce faire, deux courants de littérature sont mis à contribution : ceux issus du champ des PPP et ceux traitant des stratégies collaboratives de façon générale. Un modèle d’évolution du contrôle formel exercé entre les parties en fonction des divers types de confiance pouvant se manifester dans le cadre des relations partenariales est proposé. Cette approche est d’un intérêt particulier car elle permet de mettre sous les projecteurs aussi bien la contribution en matière de confiance et de mécanismes de contrôle formel du champ des alliances stratégiques de façon générale et le champ des PPP qui en représente un cas bien particulier.
Une étude empirique de type qualitatif a été réalisée afin de vérifier la pertinence du modèle proposé d’évolution du contrôle formel en fonction des types de confiance identifiés. Les propos d’une quinzaine des responsables des secteurs publics et privés oeuvrant dans un PPP réalisé à l’échelle canadienne ont été recueillis lors d’entretiens semi-structurés menés par les chercheurs.
Avec quelques données secondaires fournies par les répondants, une étude de cas a été rédigée. L’analyse des transcriptions des entretiens de l’étude de cas permettent de vérifier les propositions avancées. À la lumière de la réflexion et de l’analyse des données empiriques, il ressort que le contrôle formel représente « la structure de base » de la naissance du PPP, fondé lui-même sur la confiance institutionnelle. Par la suite, tout au long de leurs interactions, les parties construisent une confiance non seulement au niveau organisationnel mais également au niveau personnel.
Bien que le contrôle formel représente le cadre auquel se réfèrent les parties pour leurs collaboration, il peut être, en cours du projet, relégué au second plan et substitué (sur le plan fonctionnel) par la confiance interorganisationnelle et/ ou interpersonnelle. Ainsi, tout au long du projet de PPP, le contrôle formel, les confiances institutionnelle, interorganisationnelle et/ou interpersonnelle peuvent se compléter ou se substituer.
Auteurs
Katia Angué
Ulrike Mayrhofer
Résumé
L’objet de cette communication est d’évaluer l’impact des conditions initiales dans lesquelles évoluent les entreprises sur leur propension à coopérer et sur les caractéristiques de leurs alliés qu’elles jugent déterminantes. Plus précisément, l’enjeu est de mesurer l’influence de différentes dimensions de la distance (culturelle, administrative, géographique, économique et technologique) sur le choix d’un partenaire d’une coopération internationale en R&D.
Fondé sur le cadre d’analyse proposé par Ghemawat en 2001, cet article développe et teste plusieurs hypothèses relatives aux effets de l’éloignement, envisagé sous cinq de ses dimensions. Elles sont testées sur un échantillon de 1.502 accords internationaux conclus par des entreprises européennes oeuvrant dans le secteur des biotechnologies.
Or, si les résultats de l’étude empirique montrent que la distance influence le choix du partenaire, ils révèlent également que son impact varie en fonction de la dimension retenue. En particulier, les distances administratives, géographiques, économiques et technologiques apparaissent jouer un rôle essentiel, mais la distance culturelle, pour sa part, ne semble pas influencer le choix des partenaires, du moins dans le secteur des biotechnologies.