AIMS

Index des auteurs > Le roy Frédéric

Jerson Ariste, Le roy Frédéric, Sentis Patrick

Auteurs

Ariste JERSON

Frédéric Le ROY

Patrick SENTIS

Résumé

Cette étude a pour objectif de compléter les recherches sur l’impact boursier des annonces des pratiques illégales, en s’intéressant aux pratiques anticoncurrentielles. La théorie des comportements illégaux des entreprises est notre référence théorique de base. Une étude d’événement est menée sur un échantillon de 130 cas avérés d’ententes et d’abus de positions dominantes sanctionnés par les autorités française et européenne de la concurrence pendant la période 1998-2005. Il ressort de notre analyse que l’annonce des sanctions des pratiques anticoncurrentielles produit un effet significativement négatif sur la rentabilité des titres. En outre, il a été constaté que l’importance du montant des amendes n’influence pas négativement la valeur boursière. Enfin, l’impact boursier des sanctions semble beaucoup plus important pour les entreprises réalisant de faibles montants de chiffres d’affaires que pour celles réalisant des montants importants de chiffres d’affaires.

Lasch Frank, Le roy Frédéric, Marques Pierre, Robert Frank

Auteurs

Frank ROBERT

Pierre MARQUES

Frank LASCH

Frédéric LE ROY

Résumé

Les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) sont, depuis le début des années 1990, un secteur en forte croissance dans de nombreux pays européens et notamment en France (5% du PIB en 2004). Malgré cette importance les recherches sur les spécificités des firmes et notamment celles de ses entrepreneurs restent peu nombreuses. Plusieurs facteurs expliquent la rareté de ces recherches : les activités novatrices des firmes font qu’il est difficile d’identifier les entreprises qui font partie ou pas de ce secteur, les classifications économiques existantes ne sont pas unanimes, de grosses différences de taille existent entre les firmes qui interagissent autour des TIC et dans de nombreux pays, l’accès aux données est difficile. De plus, les entrepreneurs ne constituent pas une entité homogène et il est nécessaire d’identifier des typologies pour montrer leurs différentes caractéristiques (Ucbasaran et al., 2001). De nombreux auteurs se sont attachés à discerner les caractéristiques des entrepreneurs et la problématique de définition d’un profil d’entrepreneur est un des principaux axes de recherche de l’entrepreneuriat. Notre recherche a donc pour intention de répondre aux deux questions suivantes : Les entrepreneurs du secteur TIC ont-ils le même profil que les entrepreneurs des autres secteurs d’activités ? Existe-t-il un profil type de l’entrepreneur du secteur TIC ou peut-on identifier des profils différenciés ? Pour répondre à ces questions, notre recherche se fonde sur une base de données française construite par l’INSEE, nommée « Enquête SINE ». Afin de construire notre typologie nous avons utilisé les variables les plus redondantes au sein de la littérature sur les typologies d’entrepreneurs. Nous avons retenu, le capital humain général, l’expérience de l’entrepreneur, les activités préparatrices à la création, la motivation de l’entrepreneur et la zone d’implantation pour aboutir à notre typologie. Ainsi, à l’aide d’un échantillon comprenant 469 entreprises nous avons dans un premier temps tenté de regrouper les entrepreneurs en classes grâce à la méthode polythétique hiérarchique ascendante suivi de la méthode des nuées dynamiques. L’analyse descriptive suivie d’une analyse typologique nous a alors permis d’identifier 4 profils d’entrepreneurs TIC dénommés respectivement « cadres d’expérience », « jeunes diplômés sans expérience », les « prévoyants » et les « moins bien préparés » ou « kamikazes ».

Jerson Ariste, Le roy Frédéric, Sentis Patrick

Auteurs

Ariste JERSON

Frédéric Le ROY

Patrick SENTIS

Résumé

Cette étude a pour objectif de compléter les recherches sur l’impact boursier des annonces des pratiques illégales, en s’intéressant aux pratiques anticoncurrentielles. La théorie des comportements illégaux des entreprises est notre référence théorique de base. Une étude d’événement est menée sur un échantillon de 130 cas avérés d’ententes et d’abus de positions dominantes sanctionnés par les autorités française et européenne de la concurrence pendant la période 1998-2005. Il ressort de notre analyse que l’annonce des sanctions des pratiques anticoncurrentielles produit un effet significativement négatif sur la rentabilité des titres. En outre, il a été constaté que l’importance du montant des amendes n’influence pas négativement la valeur boursière. Enfin, l’impact boursier des sanctions semble beaucoup plus important pour les entreprises réalisant de faibles montants de chiffres d’affaires que pour celles réalisant des montants importants de chiffres d’affaires.

Lasch Frank, Le roy Frédéric, Marques Pierre, Robert Frank

Auteurs

Frank ROBERT

Pierre MARQUES

Frank LASCH

Frédéric LE ROY

Résumé

Les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) sont, depuis le début des années 1990, un secteur en forte croissance dans de nombreux pays européens et notamment en France (5% du PIB en 2004). Malgré cette importance les recherches sur les spécificités des firmes et notamment celles de ses entrepreneurs restent peu nombreuses. Plusieurs facteurs expliquent la rareté de ces recherches : les activités novatrices des firmes font qu’il est difficile d’identifier les entreprises qui font partie ou pas de ce secteur, les classifications économiques existantes ne sont pas unanimes, de grosses différences de taille existent entre les firmes qui interagissent autour des TIC et dans de nombreux pays, l’accès aux données est difficile. De plus, les entrepreneurs ne constituent pas une entité homogène et il est nécessaire d’identifier des typologies pour montrer leurs différentes caractéristiques (Ucbasaran et al., 2001). De nombreux auteurs se sont attachés à discerner les caractéristiques des entrepreneurs et la problématique de définition d’un profil d’entrepreneur est un des principaux axes de recherche de l’entrepreneuriat. Notre recherche a donc pour intention de répondre aux deux questions suivantes : Les entrepreneurs du secteur TIC ont-ils le même profil que les entrepreneurs des autres secteurs d’activités ? Existe-t-il un profil type de l’entrepreneur du secteur TIC ou peut-on identifier des profils différenciés ? Pour répondre à ces questions, notre recherche se fonde sur une base de données française construite par l’INSEE, nommée « Enquête SINE ». Afin de construire notre typologie nous avons utilisé les variables les plus redondantes au sein de la littérature sur les typologies d’entrepreneurs. Nous avons retenu, le capital humain général, l’expérience de l’entrepreneur, les activités préparatrices à la création, la motivation de l’entrepreneur et la zone d’implantation pour aboutir à notre typologie. Ainsi, à l’aide d’un échantillon comprenant 469 entreprises nous avons dans un premier temps tenté de regrouper les entrepreneurs en classes grâce à la méthode polythétique hiérarchique ascendante suivi de la méthode des nuées dynamiques. L’analyse descriptive suivie d’une analyse typologique nous a alors permis d’identifier 4 profils d’entrepreneurs TIC dénommés respectivement « cadres d’expérience », « jeunes diplômés sans expérience », les « prévoyants » et les « moins bien préparés » ou « kamikazes ».

Le roy Frédéric, Salvetat David

Auteurs

David SALVETAT

Frédéric LE ROY

Résumé

La capacité à comprendre les informations est le propre d’une démarche d’intelligence économique (IE). L’IE est traditionnellement abordée sous un angle compétitif. La rivalité dicte la façon de pratiquer l’IE. L’intelligence compétitive a pour fonction d’analyser les informations concurrentielles pour mieux agresser les compétiteurs. L’intelligence coopétitive constitue des investigations théoriques relativement récentes. Les rivaux ne sont plus seulement considérés comme des agresseurs mais comme de potentiels collaborateurs. L’IE acquiert une nouvelle mission qui consiste à rechercher des informations concurrentielles afin de trouver des points, des axes de coopération avec les rivaux. De plus, les écrits indiquent que la pratique de l’IE dépend de facteurs de contingence tels que la taille des entreprises. La question qui se pose est alors la suivante : la taille des firmes influence-t-elle les pratiques d’IE à plus de coopération ? Pour y répondre, une étude empirique est menée sur un échantillon de 1500 entreprises des industries de Hautes technologies en Europe. Les résultats montrent que plus l’entreprise est grande, plus elle pratique l’IE et moins elle est coopétitive.

Fernandez Anne-sophie, Le roy Frédéric, Marques Pierre, Robert Frank

Auteurs

Anne-Sophie FERNANDEZ

Pierre MARQUES

Frédéric LE ROY

Frank ROBERT

Résumé

Dans un environnement hypercompétitif (D’Aveni, 1995) l’avantage concurrentiel n’est pas durable. Les acteurs sont donc confrontés à un choix stratégique majeur : coopérer ou se concurrencer. L’émergence de la coopétition marque l’ouverture d’un vaste champ de recherche qui réunit deux des principaux paradigmes du management stratégique et qui fait référence à une situation de compétition et de coopération simultanée. Définie comme « une relation dyadique et paradoxale qui émerge quand deux entreprises coopèrent dans quelques activités, et sont en même temps en compétition l’une avec l’autre sur d’autres activités » (Bengtsson et Kock, 1999) ou encore comme « un système d’acteurs qui interagissent sur la base d’une congruence partielle des intérêts et des objectifs » (Dagnino et al., 2007) la coopétition soulève encore de nombreuses interrogations théoriques et méthodologiques. En
effet, afin par exemple de juger de l’intensité de la pratique coopétitive par une firme ou même de mesurer son impact sur la performance, il paraît aujourd’hui primordial de parvenir à appréhender le phénomène de manière fiable. L’objet de cette communication est donc de tenter d’identifier comment observer et mesurer un phénomène paradoxal issu de la combinaison de deux réalités contradictoires ? Aussi, à travers une revue de la littérature des travaux portant sur la coopétition mais aussi ceux concernant la coopération et la compétition, il apparaît que l’étude de la coopération et de la compétition ne peuvent être agrégés au sein d’un indicateur commun qui relèverait de la sursimplification. Nous proposons alors des méthodes d’analyses statistiques multivariées afin d’aboutir à une mesure pertinente et réaliste du phénomène coopétitif.