AIMS

Rubrique stratégie dans la revue décisions marketing - 20 Avril 2015

Chers collègues,

Décisions Marketing a retrouvé le rang 3 dans le classement du CNRS. Cet événement nous donne l’opportunité de vous inviter à publier dans la revue dans le track stratégie. La revue comporte trois tracks spécialisés dont stratégie. Ce track stratégie porte sur les décisions relevant du marketing stratégique. Il inclut des articles concernant le positionnement stratégique d´une entreprise/institution ou d´un nouveau produit/service, la stratégie d´innovation, la gestion de groupes aux intérêts multiples, l´interaction entre marketing et développement des ressources humaines ou les décisions à prendre relevant de la stratégie de la marque, comme la coopération entre marques, la gestion des points de contact, le management du design total, l’open branding ou le développement de l´identité organisationnelle. Un grand nombre de recherches dans le domaine du management stratégique est lié à des décisions stratégiques à prendre. Pour qu’elles soient publiées dans le track « stratégie », il convient de mettre cette décision en avant, conformément au positionnement de la revue, et de montrer comment cette dernière peut être facilitée par la recherche présentée.Nous vous invitons vivement à soumettre vos recherches relatives aux décisions stratégiques à notre revue. L´évaluation sera accomplie dans les délais les plus courts. La visibilité de votre recherche profitera de la grande diffusion de la revue dans la communauté des chercheurs et praticiens en marketing.

Jean-Luc Giannelloni (Université de Grenoble, IAE) et Elisabeth Tissier-Desbordes (ESCP Europe), rédacteurs en chef de Décision Marketing 


Positionnement de Décisions Marketing


La revue s’intéresse aux recherches dont les contributions en matière de prise de décision en marketing sont significatives. Aucun cadre théorique, outil méthodologique, positionnement épistémologique ou domaine d’application empirique n’est à privilégier. Comme pour tout travail scientifique, la réflexion théorique sous-jacente doit être approfondie et le travail de terrain doit reposer sur une méthode rigoureuse, fondée sur des outils utilisés à bon escient, quel que soit leur niveau de sophistication technique. Une vision critique des pratiques managériales, dès lors qu’elle est constructive, est encouragée.


En matière de forme, la problématique traitée et les principales contributions de la recherche doivent être énoncées dès l’introduction. Celle-ci doit également exposer clairement le « research gap » que l’on cherche à combler. Autrement dit, l’introduction doit permettre de répondre clairement à deux questions : « Que sait-on maintenant de plus ou d’autre qu’avant d’avoir lu l’article ? » et « Pourquoi était-il important de savoir cela ? ». La problématique et les contributions doivent également figurer dans le résumé.


La méthode n’est pas le cœur de l’article ; elle peut donc être présentée sous forme d’encadrés et/ou parfois d’annexes. Mais ceux-ci doivent donner au lecteur qui le souhaite toutes les informations nécessaires pour comprendre les tenants et aboutissants techniques de la recherche.


La structure de l’article est libre. Si elle suit un plan classique de type Littérature / Méthode / Résultats / Discussion, les titres et sous-titres doivent être enrichis, afin que le lecteur ait une idée précise de ce qui suit. Dans cette hypothèse, la partie « implications » ou « aide à la décision » doit occuper un volume significatif de l’article. De même, il faut essayer d’éviter une présentation qui débouche sur un modèle et des hypothèses. Ce n’est néanmoins pas un motif de rejet a priori. Dans la mesure du possible, il faut s’efforcer de construire son plan à partir des principales contributions, en puisant dans les réflexions théoriques et les résultats pour nourrir la discussion critique proposée.


Le style de rédaction doit être le plus simple et le plus direct possible, en limitant au maximum le jargon technique et les anglicismes. La lecture doit être agrémentée par des exemples, des illustrations, des figures, pourquoi pas des photos quand c’est pertinent (sous réserve qu’elles soient libres de droits et/ou que les auteurs puissent fournir une autorisation écrite de diffusion). L’érudition n’est pas un objectif en soi ; c’est pour cette raison que le nombre de références bibliographiques doit être raisonnable (25).


Pour plus d’informations, nous vous invitons à vous rendre sur le site de l’AFM